Libéré ? Non
Nom : À donner
Prénom : À donner
Age : 15
Sexe : Masculin
Sexualité : Bisexuel
Histoire : Cela commence dans une ville de la même contrée qu’Olphéra. Cela commence avec une famille relativement aisée. Cela commence avec une de leurs possession: une Neïko, parallèlement la nourrice de leurs deux enfants. Celle-ci aimait bien les enfants et était traitée correctement. Elle avait un endroit pour dormir, constitué d’une petite table et d’un petit matelas surmonté d’une mince couverture et d’un coussin. De plus, elle pouvait garder avec elle quelques petites babioles qui lui rappelaient des souvenirs, tant que cela n’empiêtait pas sur les couchettes d’autres domestiques. Car, en effet, al pièce où elle dormait était le dortoir des domestiques qu’elle partageait avec une femme de ménage (humaine), deux maîtres d’hôtel (hybride reptile et humain) et une prostituée (Neïko aussi). Tous les cinq les servaient correctement, heureux de leur condition car, bien qu’esclaves, ils étaient nourris (ils mangeaient des restes, mais leurs maîtres s’étaient toujours arrangés pour qu’ils puissent se les partager sans mourir de faim), logés, avec des conditions de travail pas trop difficiles et n’avaient pas le stress occasioné par les finances et toutes ces choses agaçantes dans la vie en général. Bref, une vie sympathique, mais sans plus.
La nourrice, nommée Aney (juste Aney), étant plutôt gourgandine, aimait à se promener en cachette de ces maîtres le soir à la recherche de clochard ou d’esclaves en fuite. Après quoi, les rapports sexuels se succédaient les uns aux autres jusqu’à ce qu’elle fut trop fatiguée pour continuer. Évidemment, elle fut engrossée. Dès qu’ils s’en rendirent compte, les maîtres de maison la confinèrent à l’intérieur de leur terrain (composé de la maison, des quartiers des esclaves, d’une petite cour à l’avant servant de potager ainsi que d’une terasse à l’arrière (mais pas trop grande)). On lui imposa ceci non seulement pour qu’elle n’eut plus d’aventures, mais en outre pour ne pas nuire aux enfants. Bien qu’ils savaient qu’ils ne pourraient pas les garder, les maîtres se refusaient à ôter la vie, tout foetus qu’elle fut. Aney garda donc ses enfants et accoucha plusieurs mois plus tard... de quadruplés et n’en mourut point! En ce moment même, un marchand ambuland était en ville. Les maîtres lui laissèrent donc les petits Neïkos à peine âgés d’un mois et aucunement nommé “pour ne pas qu’ils se fussent attachés”. Une semaine plus tard, le marchand s’en allait avec trois petits Neïkos sans nom.
Le marchand refusa de les vendre durant un an, se disant qu’ils étaient trop jeunes pour être vendus, car ce pourrait être un maître négligent qui les prit. Toutefois, son avis changea après l’an. Il se dit que des maîtres qui ne s’en occuperaient pas ne les achèteraient pas et accepta de les vendre à condition que les maîtres semblent assez bienveillant et que la somme d’argent n’en soit pas réduite sous prétexte qu’ils n’avaient pas deux ans. Un premier partit quelques semaines après cette décision. Un second fut acheté quelques mois après ces deux ans. Le troisième fut laissé à l’animalerie d’Olphéra.
En ce temps, le gérant de l’animalerie était quelqu’un de très gentil et qui prenait soin de ses “pensionnaires”, d’autant plus que, s’il avait une bonne hygiène et semblait en forme, il se vendrait mieux. Lorsqu’il acheta le Neïko, il eut la même impression que le marchand: il ferait mieux de ne pas le vendre à n’importe qui, sachant qu’il n’avait ue deux ans. Il le prit donc sous son aile durant huit ou neuf années, je ne sais pas, et le soigna correctement. Puis, tranquillement, il se mit à lui donner un peu plus à manger, un brin plus de liberté et des vêtements moins sales, bref, il devint un de ses préférés. Toutefois, en même temps, il se souciait un peu moins des autres, les laissait tout seuls… Le temps passa donc ainsi et le Neïko était, pour ainsi dire, devenu celui du gérant qui refusa de le vendre. Le Neïko parce que, va savoir pourquoi, le gérant ne lui donna pas de nom. Il lui faisait faire le travail qu’il n’avait pas le temps de faire, trop occupé à servir les clients, et quelquefois, il lui faisait faire les courses étant donné qu’il était on ne peut plus docile. Seulement, le gérant avait un petit tic: il ne considérait le Neïko comme rien de plus qu’un chat capable de transporter quelques objets. Il l’appelait minet, le faisait miauler et gémir, ne lui parlait jamais directement et le caressait. Il le fit même castrer pour ne pas qu’il ne s’amourache éventuellement et en oublie son travail: un véritable animal domestique.
Pourtant, un jour, la chance tourna. Le gérant prit sa retraite et laissa le Neïko à l’animalerie. Ce fut un nouveau personnage qui reprit le commandement. Il était beaucoup plus ferme et stricte que l’ancien et remit ce Neïko avec les autres. Ce ne fut pas si pire, mais c’était moins bien. Enfin! On n’a pas tout ce qu’on veux dans la vie!
Apparence : Il mesure 1m56. Grand ou petit, je n’en suis pas juge. Ces yeux sont marrons et ses cheveux châtains clairs qui deviennent blonds comme les blés lorsqu’ils sont trop illuminés. Il a bien entendu deux grandes oreilles de chat sur le haut de la tête souvent baissées en signe de soumission. Deux petites oreilles humaines légèrement décolées se cachents sous ses multitudes de cheveux gondolants. Son visage est souvent un masque d’indifférence ou de nez nostalgie qui donne l’impression qu’il n’est qu’une machine, d’autant plus que son comportement peut y ressembler dès lors qu'un maître est là. Il est mince, voir maigre depuis un certain temps. Ces longs bras font contraste avec son petit torse et ce sont surtout ses pieds qui lui donnent sa taille. Quant à se habits, il sont habituellement constitués d’un polo violet et d’un pantalon noir donné par des habitants généreux. Son dos et recouvert d'un pelage semi-long qui devient une jolie queue touffue plus bas. Le tout est couleur caramel, en accord avec ses cheveux de ton châtain clair, tirant aussi sur le caramel. Ses mains possèdent des griffes rétractiles qui n'ont jamais été limées et sa bouche possède évidemment plus de canines qu'un humain. Ses yeux sont des yeux de chat, bien qu'on devine un début d'iris marron. Ses jambes sont musclées, pour lui permettre de bondir plus rapidement.
Caractère : Il est d’abord et avant tout soumis: rares son les choses qu’il refusera de faire. S’il l’est, c’est entre autre parce qu’il n’a jamais été rien d’autre qu’un animal en cage. Il y a été habitué dès qu’il a eut un mois. Alors trop petit pour se révolter, il ne peux qu’être docile et plus tard, n’ayant connu que ce mode de vie, il ne peut s’imaginer la liberté et un monde plus grand que cela.
Une autre raison de sa docilité est qu’il sait qu’il n’est qu’un objet en vie. Refuser d’obéir pourrait lui coûter. Ceci prouve qu’il a une certaine intelligence. Si on prend la peine de lui expliquer quelque chose (que ce soit avec des menaces ou de la douceur), il comprendra assez vite. Malheureusement, n’étant qu’un Neïko, on ne lui a jamais expliqué quoi que ce soit.
Il est très peu bavard, préférant les gémissement et les figures au franc-parler. Il ne faut pourtant pas en conclure qu’il est muet, bien qu’on puisse le supposer.
Il est optimiste. Il s’arrange pour être optimiste et toujours voir le bon côté des choses. Tu es esclave? Tu es aussi logé et nourri. Tu as un maître stricte et sadique? Lorsqu’il se lassera de toi, le prochain sera impressioné par l’expérience et la rigueur avec laquelle tu te tiens. Il fera toujours de son mieux pour ne pas se laisser démonter, même si la chose est triste. Néanmoins, il ne la gardera pas, recluse, au fond de lui-même. Il va simplement la rendre plus joyeuse. Il y a toujours un autre côté à la médaille.
Il tient compte des deux bouts: si une chose joyeuse se passe, il cherchera le hic avant de se réjouir. Comme dit plus haut: il y a toujours un autre côté à la médaille, mais ce ne pas toujours un BON côté…
Toutefois, ces aspects décrit jusqu'ici font surface avec des humains. Il est un esclave, le sait et ne s'attend pas à autre chose. Par contre, lorsqu'il n'y a pas d'humains en vue, c'est un chat. Il court après tous ce qu'il voit, cherche la vermine fait d'immenses siestes et miaule à tout va. Dans le même ton, il déteste l'eau et adore la viande. Surtout le poisson et les souris, crus. Il a peur des chiens et adore grimper aux arbres et se faire sécher sous le soleil.
Si les années en cage lui donnent un air plus vieux, bien qu'il sache se tenir, il n'en reste pas moins quelqu'un de très enfantin.
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Autre : Il a été castré! De plus, il est bien évidemment analphabète et ne sait pas compter plus haut que 10 (encore moins calculer). Il a du mal à faire des phrases complètes et parle mal.
