OU suis-je [ PV james bolton ]

Ysi’ était là attaché comme un vulgaire animal de foire, arrivé après cet débattu et avoir mal répondu en entrant... mais que c'était t-il vraiment passer?...Juste un simple mal entendu... un Vendeur un peu trop pervers qui ce permettait de toucher tout ce qui l'entoure et par ailleur Ysi le jeune esclave qui venait d'arriver, et qui lui avait mal répondu. IL 'acceptait pas le faite d'être toucher autre que par un maitre, le faite de l'avoir traiter de gros lard... ce qui en était la preuve de tout ce gras débordant sur la taille de ce vendeur etait vrai... il n'avait rien inventer...et la a cet intant on le punissait, chaque hommes et femmes le regardaient comme si que cette punition était nécessaire. Peut-être l’avait-il mérité mais autant de coup de fouet les avaient-ils tous mériter ? Il était déjà attacher, de la gorge jusqu’aux chevilles, toutes les chaines étaient bien tendues c’était pour cela que Ysi ‘ s’était étrangler ou presque quand il s’était réveiller…avant que l'homme le touche... mais sa ce n'était pas très important. Sa leur suffisait toujours pas, ils en voulaient encore plus ? A quoi ça leurs servaient ?

Ysi était bien présent physiquement mais mentalement même si son regard impassible était plonger dans les yeux du vendeur pathétique, il était bien absent malgré tout. L’esclave repensait surement au passé vécu, il sentait certes les coups de fouets sur son corps, il reconnu cette force lui transperçant jusque dans l’intérieur et au plus profond de lui-même, cette rage qui le rongeait mais que jamais il ne sortait pas des paroles blessantes ou forces physique. Son maitre ou plutôt son père biologique lui avait déjà fait ressentir et il s’avait a quoi s’en tenir.
Ysi s’avait très bien qu’il n’était pas bon de répondre a quelqu’un de supérieur à lui, c’est –a- dire tout hommes ou femmes n’étant pas un esclave, donc ceux qui sont hors des cages crasseuses et infectes.
Il ne devait pas répondre, ni répliquer, il n’aurait même pas du lever le regard vers cet homme, tout ça il le savait parfaitement, mais ce n’était pas son maitre, de quel droit il se permettait de le toucher ainsi ? Avec ses mains baladeuses et le regard d’un homme qui envie de martyriser les plus rebelles, ou encore de faire jou-jou et donner tout ce qui a de plus profond en lui avec force et brutalité. Non t-ils pas conscients qu’un esclave ressentaient les choses même si il ne les montres pas ? Sont-ils simplement conscients qu’un esclave est être humain ? C’était surtout ça la question du jour ==’. Ce qu’il y a de plus étonnant la dedans, ou surtout effrayant c’est que les personnes savaient qu’un esclave est une personne mais n’en prend pas conscience. TT’.

De ce faite il ne fallait pas oublier que Ysi était nu, nu sans rien, son torse maculé de cicatrices anciennes, laissant ses tétons durcit par la chaleur de son corps, ainsi qu’un piercing un souvenir de son père, enfin plutôt une petite expérience pas très stérile mais surtout le sang coulant le long de son corps comme un ruisseau, son membre était dévoilé a la vue de toutes et de tous, hommes et femmes, quels qu’ils soient, pervers, sadiques ou fragiles peut importe…Ils se permettaient de regarder sans gènes, sans honte, sans pitié pour le jeune esclave qui ce tût pendant tout ce temps là.… Et personne trouver ça bizarre. Les gens étaient vraiment impressionnant quand même TT ‘ L’esclave ne porter que un collier, le collier de chien que lui avait confectionné son « père » et qu’il ne put jamais retirer. Un collier noir, dont la matière ressemblait à du cuire et il était vraiment trop serrer pour le jeune esclave qu’il l’avait depuis qu’il était jeune. Mais ça non plus..Ça ne déranger personne… Alors qu’on voyait le jeune esclave et la peau du cou un peu tirer par le collier qui lui serrer quand il faisait seulement un petit mouvement et après haletant comme un chien…Non.. Ça ne les gênés pas c’était normal. Il avait des chaines, aux deux poignés et au deux chevilles, les chaines étaient très tendues pour ne pas qu’il puisse trop bouger, mais il ne pouvait pas bouger de toutes façon.

Les personnes agitées par ce vacarme pouvaient remarquer les muscles tendus du garçon par les chaines qui le tiraillées à droite et a gauche, les veines ressortaient légèrement par ses chaines trop serrées qui coupaient un peu le sang des extrémités des bras et des pieds du jeune garçon qui ne s’en rendit même pas compte. Certes il avait un beau corps, musclé juste ce qu’il faut, assez pâle de peau mais cela suffisait-il pour le laisser à découvert en montrant ses cicatrises et son intimité ? Mais tout ça, tout le monde s’en fichait, ils préféraient regarder le « spectacle » plutôt que de penser a tout ce que pouvait endurer Ysi.
L’esclave ce tenait de moins en moins droit, plus recourber face ou coup qu’il prenait, le regarde toujours impassible et plonger dans celui du vendeur, alors que ce dernier voulait tout le contraire, voulant l’entendre crier, surement pour s’assurer qu’il souffrait assez bien. Mais ysi restait comme dans le vague, il l’écoutait, il senti et entendait ses claquement de l’objet sur sa peau chaque seconde, était une seconde de douleur, une seconde ou on le rappelait qu’il était … un esclave, un soumis, un chien, … ce n’était que par cet objet que le vendeur lui fit rappeler que jamais il n’avait le droit de répliquer. Il n’avait pas besoin de tout « ça » pour savoir ce qu’il était son « père » lui avait redit tant de fois, et son prénom ysigaan signifiant « objet « a la base, du moins c’est son père lui avait dit, il savait a quoi il servait.

Il repensait a son maitre qui était son père, ce demandant sur qui il allait tomber pour son futur maitre, ou est-ce qu’il aller rester la, nu devant des millions de maitres et maitresse, a la vu de tous. Ysi se posait un tas de question, avec son air absent que peut de gens remarquer, il entendit les gouttes de sang qui tombaient au sol, les unes après les autres, ce multiplian mais sans réagir pour autant.

Mais de plus en plus sa respiration se saccadait, son cou devenait un peu violet et ses trais tirer par ce collier, il fatiguer surtout a être attacher sans pouvoir poser sentir ses muscles se relâcher, ce n’était pas les coups qui l’affaiblissaient… c’était les chaines qui ne laissait pas beaucoup de passage au sang pour aller dans les pieds et dans les mains un peu violette.
Il souffrait sa ne ce voyait pas vraiment, seul sa respiration le trahissait c’est vrai, mais ici jusqu'à présent personne n’en tenu compte…
Il n'entendit qu'une clochette.. cette fameuse petite sonnette qui signifiait qu'un maitre venait d'entrer... mais ysi était tellement recourbé et trop digne pour lacher son regard ailleurs qui ne vit pas la silhouette avancé vers le "spectable"....

[ voila je post comme ça xD j'espere c'est pas trop long et que sa te plaira!]

Une clope au bec, les mains dans les poches, comme toujours, la dégaine d’un type qui avait bien mais peu dormit, les cheveux en bataille. Voilà l’image que donnait James alors qu’il se dirigeait d’un pas lent mais sûr dans une direction bien précise. Ce matin, un client était venu. Un type un peu bizarre qui lui avait demander d’apprendre à sa neiko à bien causer. James n’était pas un prof, pour qui il le prenait cet andouille. Bah mais qu’importe, finalement, et contre une bonne grosse liasse de billet, James avait accepter de prendre la boule de poil au centre pour essayer de lui apprendre à ne pas jurer comme une charretière dès qu’elle ouvrait la bouche. Et au bout de quatre longues heures, pour la minette, James avait trouvé la solution. Il lui avait coupé la langue. Tout simplement. Sur le coup son maître avait été surpris voir même choqué. Mais au bout du compte il avait eu ce qu’il voulait et était repartie heureux avec sa boule de poil puante.

Oh oui, la journée commençait merveilleusement bien. Enfin commençait… il était plus de 16h30… la journée n’allait pas tarder à laisser place à la soirée. Et James avait encore énormément de chose à faire. Quoi donc par exemple ? Bah tout un tas de paperasses administrative. Lui qui ne le faisait jamais, il avait eu l’idée d’aller chercher quelqu’un pour le faire. C’était son idée oui. Un bon esclave ferait la faire non ? Et puis s’il ne faisait pas l’affaire, il lui couperait la langue à lui aussi, sans autre raison que son propre plaisir. Fumant tranquillement sa cigarette, James tourna à droite d’une rue et se dirigea d’un air nonchalant vers la boutique qui vendait le produit qu’il recherchait. Le jeune homme n’aimait pas trop quand les larbins étaient éduquer, savaient lire et tout ça mais bon, pour faire sa compta, il le fallait bien.

Poussant la porte de la boutique, qui émit en passant un bruit horrible de clochette, James pénétra donc et alla au comptoir. Il n’y avait personne. Les sourcils froncé, James fini sa cigarette qu’il jeta quelque part dans une cage sans même faire attention si elle était vide ou non. Bon sang où était ce maudit vendeur. C’est qu’il était pressé le James ! Agacé, James fini par regarder aux alentours. Et ce fit à ce moment qu’il constata un attroupement peu ordinaire de gens, sûrement des sales riches bourrés de thunes, devant une cage. L’air perplexe, James s’approcha donc à son tour. Ah curiosité quand tu nous tiens ! Quelle ne fut pas sa surprise lorsque le jeune homme constata que ce que tout le monde regardait était une scène de punition d’un esclave… Enfin à première vue. A moins que ce type ne sois complètement masochiste et qu’il prenait son pied sous les coup de fouets. James arriva sans aucun mal à se placer devant la foule. Certains l’avaient reconnue et voilà qu’il déguerpissaient à toutes jambes.

Un œil sur le vendeur. Il semblait lui prendre son pied. Malgré son air déçu ou énervé, la transpiration qui coulait sur son front montrait bien qu’il n’y allait pas de main morte. Au moins lui savait comment traiter la vermine. Un œil pour l’esclave. Tient tient. Il ne disait pas un mot. Rien du tout. Il resta là silencieux à entendre claquer le fouet sur sa peau nu. Parce qu’il était complètement nu ?! Et ben, le vendeur était un sacré gaillard dis donc ! Un sourire malsain plein de promesses toutes aussi sadique apparu sur le visage du jeune homme. S’il s’était écouté, il aurait demandé la permission au vendeur de lui céder sa place pour qu’il puisse faire mumuse lui aussi. Mais bon, il se retint. Par contre, l’esclave avait réussit à attirer l’attention de James. Il s’imaginait déjà le battre pendant des heures jusqu’à ce qu’il réussisse enfin à lui arracher un cri. N’était-ce pas le plus beau des défis ?

James s’approcha du vendeur complètement en âge et qui bouillonnait intérieurement de rage de ne pas réussir à faire quoi que ce soit avec le jeune esclave. James posa une de ses main sur son épaule, ce qui arrêta le vendeur dans son élan. Celui-ci tourna la tête vers James, un air farouche au visage, énervé qu’on le dérange en plein boulot. James lui offrit son plus grand sourire avant de prendre la parole :

« Dites moi mon ami, combien vous me faite vous pour le jeune muet ? Humm ? Je suis bien disposé à l’amener avec moi. Moi aussi j’aimerais m’amuser avec lui… »

Le vendeur regarda James avec une mine très étonnée. Peut-être était-il surprit par les propos que le jeune homme venait de dire ? Qu’importe, le client est roi. Le vendeur abaissa sa main qui était toujours en l’air et lui souri à son tour. La foule autours avait bien comprit que le spectacle était fini. Déçu, tous repartir à leur occupation. James quant à lui était en pleine discussion avec le vendeur. D’ailleurs, il semblerait même que le jeune homme est trouvé le parfait interlocuteur pour lui raconter ce qu’il avait l’intention de faire. Visiblement ravie, voir presque excité par les plans de James, le vendeur tint à lui faire un prix d’ami. James en était également ravi. Les deux hommes se serrèrent la main, James paya le type et le laissa repartir derrière son comptoir. Le jeune homme replaça ses mains dans ses chères poches et s’approcha du jeune esclave qui se tenait toujours ligoté par des fers. James le regarda de bas en haut, de haut en bas. L’esclave n’avait toujours pas dit un mot. James pénétra dans la petite cellule et d’une main, il prit une poigné de cheveux au-dessus du crâne de l’esclave, forçant à le regarder. James laissa un court silence s’installer avant qu’il ne reprenne la parole :

"Comment t’appelle-tu ? "

Simple, clair et précis. James n’avait rien d’autre à ajouter.