La rencontre des deux sadiques **PV James Bolton**

Cela faisait déjà trois ans que notre chère Malicia vit dans le trou noir. Personne n’à oser lui adresser la parole et du moins de l’approcher. De peur qu’elle réagisse mal. C’était bien fait comme ça. Dans se temps là, la jeune sadique avait la paix. La jeune fille était accoté le dos sur les barreaux. Le genou gauche relevé comme appuis pour son bras gauche, la jambe droite étendue par terre et sa main sur une roche par terre. Et habillé d’une robe noire d’été toute déchiré à plusieurs endroits.

Malicia était dans cette position et riait des deux taré d’accoter. Qui jouait à roche, papier, ciseaux. Ça faisait déjà deux heures qui jouaient à ce jeu stupide et la jeune esclave en avait plus que marre de les entendre. Alors, elle sera la roche dans sa main et décida de la lancer sur la tête de un de ses voisins. Le coup avait était tellement fort qu’elle l’avait tué.
Son compagnon traumatisé de voir son ami se baigner dans son sang. C’était mis à crier comme un défoncé.

- TU ES FOLLE….TU VIEN DE LE TUER…TU ES UN SALE GARCE !!!

Malicia venait perdre patience. Elle se leva et lui jeta un regard noir. C’est là, qu’un vendeur arriva sur la scène du meurtre Il se tourna vers la jeune fille et la regarda d’un aire fâché. Puis, il activa son électrocuteur. Mais celui-ci fit l’erreur de s’approcher trop près de la cellule. La jeune fille le pris pas le collet et le plaqua contre les barreaux de sa cellule. Et d’une voix plutôt sadique elle dit :

- c’est quoi ton problème de vouloir m’électrocuter… Tu va voir quand je vais sorti d’ici je vais te faire goûter le goût de la mort…

- … Pardonner… Mm… Moi… Mal… Malicia…

- t’ai supplies me fons rire…

Sur ces mots, elle releva un peut son regard au dessus de l’épaule du vendeur. Et put voir un homme derrière lui qui avait l’aire d’attendre quelque chose. Il était grand, ténébreux, beau mec et l’aire sadique. Un sourire en coin apparu sur ses douces lèvres. Elle lâcha le vendeur et regarda le jeune homme de haut en bas.

- Qu’es-ce que tu veux… Ma photo… Heum… Désolé j’en ais pas. Ha! Oui! J’avais complètement oublié qu’elle était dans le journal. Alors, tiras la découper. Comme ça tu pourras te branler devant…Asteure, tu me gène. Alors, je n’irais pas par quatre chemins. Je te le dis bien sincèrement tu peux te casser

Gros soupire. Rares étaient les maîtres assez intelligents à venir au centre lui confier leurs chères monstres de tout genre. Certains le trouvait trop violent, d’autre rebroussaient chemins dès qu’ils croisaient le regard sadique du jeune homme. Tous des mauviettes. Plus personnes aujourd’hui ne comprenaient à quoi servaient hybrides, neikos et autres esclaves. Pourtant ce n’était pas si compliqué. Du coup, lassé d’attendre comme un crétin derrière son comptoir, James avait décidé d’aller s’acheter son propre joujou. Oui, si ceux des autres tardaient à venir, il n’avait qu’à tout simplement avoir le siens. Il en avait les moyens et surtout il se faisait royalement chier dans son petit studio. Un peu d’animation lui ferait le plus grand bien.

Les mains dans les poches d’un pantalon marron surmonté d’une chemise rouge sang, James traînait tranquillement dans les rues, pour ne pas dire qu’il flânait. Il se demandait encore quel type de jouet il allait bien choisir. Il ne désirait pas vraiment d’un neiko… Pas pour le moment du moins. Et pas d’un mâle. Tous bien trop compliqué. Au fur et à mesure de ses choix, de son choix qui prenait forme dans son esprit de malade, James pénétrait de plus en plus dans le cœur de la ville. Que faire donc ? James soupira, avant d’hausser les épaules. Bah il verrait bien le moment venu.

Après une légère heure de marche, le jeune homme poussa la porte d’une petite boutique qui avait réussi à attirer son attention, et surtout, à aiguiser son appétit sadique. Dans une rue un peu plus éloignée que les autres, une boutique trônait et exposait fièrement la marchandise qu’elle vendait. Alors qu’il poussait à peine la petite porte, James entendit un cris, voir même un hurlement d’effroi. Quelqu’un criait au meurtre. Au meurtre ? Tiens tiens, mais c’est que ça devenait de plus en plus intéressant. James pénétra finalement dans la boutique et regarda ce qu’il ce passait. D’ici il ne voyait pas grand chose, mis à part un type collé au barreau d’une cage contenant une jeune demoiselle à la crinière rose. Mais qu’est-ce qu’il se passait ici ? Du comptoir, James n’entendait pas l’échange qu’avait les deux personnes. Les mains toujours dans les poches, il attendit tranquillement qu’on daigne s’occuper de lui. De toute manière, il n’était pas pressé.

Finalement, James entendit un bruit sourd. Le type de tout à l’heure était au sol et semblait complètement terrifié. James arqua un sourcil d’incompréhension. Puis une voix singulière se fit entendre. Et visiblement c’était à lui qu’on parlait. James fronça carrément les sourcils en entendant les propos de la jeune esclave. Il s’approcha d’un pas lent. Une fois à la hauteur de la cage, alors que la demoiselle continuait de parler, James mit un gros coup de pied sur les barreaux de la cage. Cette dernière fit un bruit terrible mais au moins, elle fit s’arrêter le blabla de la jeune femme. Les mains toujours dans les poches, l’air assez énervé, James prit à son tour la parole :

"Tu parle trop. Ferme la un peu ! "

Un regard pour le type au sol. Visiblement, c’était le vendeur. Tss incapable. Un regard pour l’hystérique au cheveux rose. James avait d’abord l’intention de prendre un petit esclave tout craintif pour pouvoir bien s’amuser avec. Finalement, une teigne conviendrait parfaitement. D’ailleurs, ça devait être beaucoup plus amusant, quelqu’un qui ne se laisse pas faire… D’une main, James prit le vendeur par le colle et le remit sur patte. Il lui fit un signe de tête pour lui dire que son choix était fait et qu’il devait ouvrir la cage. Ouvrir la cage ? Vu la tête du vendeur, il n’en était pas question :

" Quoi ? Mais vous êtes sûr ? Je vous prévient, s’il vous arrive quelque chose, ça s’ra pas d’ma faute hein ?!! "

Apeuré. Le type était complètement terrifié par la demoiselle derrière ses barreaux. Un soupire et James envoya voler le vendeur, lui prenant le trousseau de clef par la même occasion. Un joli sourire bien sadique se dessina sur ses lèvres lorsqu’il croisa le regard de la demoiselle. Un instant plus tard, la cage était ouverte. Empêchant toute fuite de la part de la demoiselle, James se mit en avant et fit sortir la douce en lui tirant les cheveux, sans aucun ménagement.

"Bon, et si on sortait d’ici ma belle ? Je crois qu’on va bien s’amuser tout les deux ! "