Le rituel d'ouverture [ Réservé ]

[OMG (Oh My God) ! Quarante lignes !]

Lannovar s'était réveillé très tôt ce matin là. Le réveil avait sonné à cinq heures et demi pile et il s'était dirigé d'un pas digne d'un zombie jusqu'à la cuisine. Le petit déjeuner était déjà prêt, il fallait dire que tout dans la villa était automatisé et que l'endroit prenait lui même des initiatives par rapport aux habitudes des habitants de la villa. Le jeune homme avala bien vite son café au lait et ses tartines de confiture. Une fois ceci fait, il quitta la pièce, laissant le soin de nettoyer et de ranger aux automates robotiques de la villa. L'humain se entra dans une pièce avec tout un bric à brac à l'intérieur et se mit au travail. Deux heures plus tard, il avait enfin terminé le travail de plusieurs mois. Les ailes mécaniques étaient prêtes, les humains pourraient voler comme des oiseaux avec cela. A condition qu'ils aient des hybrides ailés à disposition et que ceux ci soient d'accord pour leur apprendre comment se servir de leurs ailes artificielles. Ce qui serait parfois difficile à obtenir dans certains cas.

Lannovar pris sa voiture pour se diriger vers le quartier Ouest de la ville. Il souhaitait s'acheter une autre neko. Apparement, une seule ne suffisait pas. En cette heure matinale, il ne fut pas étonnant pour lui de constater que la place qui se trouvait pile devant l'animalerie qui venait d'ailleurs d'ouvrir fut libre. Une fois garé, il sorti de son véhicule qui se ferma derrière lui sans qu'il fasse quoi que ce soit. Le jeune homme entra dans l'animalerie et par la même occasion dans une atmosphère assez bruyante vu que beaucoup de nekos essayaient d'attirer son attention par tout les moyens. L'humain passa entre les cages et remarqua une charmante neko aux longs cheveux bruns et aux yeux vairons qui contrairement aux autres neko ne jouait pas la comédie. Il se dit qu'elle serait bien chez lui et que vu qu'elle n'était pas turbulente, il n'aurait pas beaucoup de soucis avec elle.

Comment t'appelles tu ?

[ En fait, moi j'en compte quarante-huit X3 ]

Alors que la jeune femme essayait de passer le temps avec. . . avec rien, elle ne put que remarquer le soudain brouhaha qui fit irruption dans l'animalerie. Mais qu'elle était la raison de se soudian chahut ? Curieuse et surtout légèrement irritée que les occupants près d'elle décide de faire le concour de celui qui miaule le plus fort. Les oreilles légèrement abattues, elle s'avança, essayant de percevoir ce qui attirait l'attention de tous ses confrères et surtout consoeurs. Ne voyant pas grand chose avec les mains et bras dans son champs de vision, elle décida de se retourner vers son voisin de droit, un neïko mal et particulièrement exaspèrer par tout ce bruit. Malheureusement, vue sa mauvaise huemeure, elle décida de ne pas le déranger, puisqu'elle était certaine qui lui manquerait quelques pièces en moins s'elle décidait de lui adresser la parole. Elle se contenta donc d'attendre, qui sait, peut-être que la source d'attention va un jour se retrouver devant sa cage et là, elle pourra voir ce qui cause une telle commotion.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Un jeune homme que l'on pourrait qualifier de ténébreux se tint maintenant devant sa cage et les cris d'attentions s'abaissèrent légèrement puisque certains trouvaient que c'était déjà peine perdue. Pour être honnête, ils pourraient avoir raison. Après tout, il était difficile de résister aux charmes inconscients de la neïko et ses yeux vairons en hypnotisait plus d'un et maintenant qu'elle était en vente, ce n'était pas surprenant qu'elle soit achetée aussitôt. Eryn, quant à elle, inclina délicatement la tête, scrutant le jeune homme de ses yeux uniques et curieux. Il n'était pas laid, loin de là, mais comme lui avait dit Marc, les apparences sont souvent trompeuses. Qu'est-ce qui lui disait qu'elle n'allait pas vivre un enfer à ses côtés ?

" Comment t'appelles tu ? "

Polie et d'agréable companie, Eryn sourit au jeune homme devant elle, un sourire candide et chaleureux tandis qu'elle se présentait comme il lui avait été demander.

" Je m'appelle Eryn. "

Le vendeur voyant l'ombre d'intérêt que le jeune homme épprouvait envers leur neïko, décida d'intervenir calmement. Marchant jusqu'à lui, il se racla la gorge pour qu'on puisse s'appercevoir de sa présence et débuta son discour de vent, disant que c'était une bonne et belle neïko, éduquée et tralali tralala. Eryn, pas qu'elle s'ennuyait, mais elle connaissait déjà le discour puisqu'elle l'avait entendue des centaines de fois en présence de Marc et ne fit que prétendre d'être attentive aux paroles de Jean, le vendeur.

[Qua..Quarante huit ? OMG ! Mes réponses doivent te sembler bien courtes T_T]

Dès que Lannovar fut devant la cage d'une neko qui attirait son attention, celui ci remarqua que certains autres mi-félins avaient arrêté de supplier ou de jouer la comédie pour être achetés. C'était sans doute à cause du fait qu'ils jugaient que c'était peine perdue à présent et ils avaient bien raison car le jeune homme trouvait la neko qui était devant lui tout à fait charmante. Il espérait que ce n'était pas qu'en apparence car il se demandait se qu'il pourrait faire d'une esclave surexcitée ou qui ne ferait que le provoquer. Bref, il lui fallait quelqu'un de calme. Les yeux de la demoiselle étaient vraiment beaux. Cela produisait une sorte d'effet hypnotique assez attirant. Elle lui répondit aussitôt quand il lui demanda son nom. Eryn. Joli quoique pas vraiment courant. Le contact venait de se créer et il n'y avait pas de problèmes jusque là. C'était déjà une bonne chose. L'un des vendeurs s'approcha de Lannovar et lui vanta les mérites de la jeune neko. Vu ce qu'il disait, la demoiselle avait toutes les qualités requises pour qu'il l'achète. Lannovar attendit poliment que l'employé ait fini sa tirade puis en plaça enfin une pour dire :

Combien vaux-t-elle ?

Ils allèrent au comptoir où Lannovar donna l'argent nécessaire à l'aqucisition d'Eryn et remplit la paperasse qui allait évidement avec. Il se doutait que la demoiselle entendait la conversation grace à son ouïe très sensible. Une fois ceci fait, l'employé et Lannovar se dirigèrent vers la cage de la neko avec les clés de sa prison.