[Hentaï] Hébergement temporaire

Transcendant de part en part par la honte, qui perçait son corps come autant d'aiguilles, Gabrielle serrait les poigs, furieuse contre elle même. Mais ça ne devait pas s'arrêter là. Elle sentit quelque chose l'entourer et vit la serviette, si utilisée ces temps ci. Le Neiko la ramena et l'embrassa, y mettant encore plus de fougue qu'elle. Enhardie, Gabrielle serra contre elle Yuuki, caressant son dos et jouant avec sa langue. En recherche d'un appui, elle le mena tou droit contre la porte qui s'ouvrit, les faisant tomber par terre. Qu'à cela ne tienne, si peu ne l'arrêterait pas.

"Je peux bien attendre un peu, une autre faim me tenaille, beaucoup plus pressante. "

Gabrielle, ainsi à califourchon sur le Neiko, poursuivit ses caresses, passant ses doigts sur son cou, suivis de sa langue.

Gabriel appréciait les caresses de Yuuki, sentant son excitation monter peu à peu. Apparemment d'humeur joueuse, il lui demanda quel genre de faim elle avait, la regardant même dans les yeux.

"Et bien, un appétit qui ne peut être calmé que par toi et qui doit l'être maintenant. Et toi ? Tu avais peut être faim aussi ?"

Les joues rouges, elle le fixa à son tour, le plus sérieusement du monde, mais pendant ce temps, sa main en profitait pour caresser le torse du Neiko, descendant de plus en plus le long de son corps.

[Désolé pas eu le temps d'rép avant ^^ Mariage et Baptême... Ce week-end]

L'excitation du néko et de sa maîtresse se faisait de plus en plus ressentir. Il avait toujours les mains sur les fesses de la jeune femme, rougissant légèrement à ce qu'ils étaient entrain de faire.

"Est-ce que j'ai faim ? Et bien... Du même sens que vous."

Voyant la main descendre de plus en plus, glissant légèrement sur le torse du jeune homme. Seulement, un homme tocqua à la porte d'entrée de la chambre d'hotel. Yuuki fit un légèr bond, mit ses mains autour de la jeune femme, se leva légèrement et sauta dans la salle de bain pour refermer la porte tranquillement. Il mit alors son index sur sa bouche en laissant un légèr "chut...", avant que l'homme passe dans la chambre, surement pour changer les draps.

*Il aurait pus tout de même passer plus tard.*

Gabrielle s'apprêtait à retirer le dernier vêtement qui restait à Yuuki, cette belle chemise, quand un frappa à la porte. Le Neiko se précipita tout de suite dans la salle de bain.

Gabrielle se retrouva à genoux sur la moquette de la chambre, habillée seulement en surface. Soupirant de cette interruption, elle se leva et alla ouvrir. Mais il ne s'agissait pas de la femme de chambre. Non, c'était l'homme de la nuit dernière, à l'exception près qu'il était accompagné de son copain cette fois. Avant que Gabrielle ait pu faire quoi que ce soit, l'un deux lui attrapa les poignets et la plaqua violemment contre un des piliers du lit à baldaquin, l'empechant totalement de bouger.

"Où est le Neiko ? "cracha-t-il.

"Il est parti ce matin ! Je lui ait rendu sa liberté ! C'est foutu mon vieux ! Trop tard pour votre petite arnaque ! "

L'autre fouillait l'armoire, il n'avait pas encore remarqué le sac, à demi caché sous le lit.

"Parfait ! Comme ça on va pouvoir te piquer ton fric tranquille. Et profiter d'autre chose aussi."

Gabrielle jeta un regard meurtrier à l'homme, tandis que son complice fermait à clef la porte de la chambre.

Gabrielle sentait une main se glisser sous sa jupe. Elle serra les dents, quand l'attention de tous fut concentrée sur la porte, où plutôt à la place première de la porte, qui venait de se faire défoncer. Quatre agents de sécurité de l'hotel débarquèrent alors, les débarassant en un rien de temps de ses deux gêneurs.

"Veuillez nous excuser pour ce désagrément, ils seront remis aux soins des autorités."

Celui qui venait de s'exprimer devait être le chef, après une petite inclinaison de son corps en guise de salut, il referma la porte tandis que ses trois copains embarquaient les voleurs.

"J'ai vraiment eu chaud."

Gabrielle se tourna vers Yuuki et lui sauta carrément dessus, le serrant fortement dans ses bras.

"Merci Yue ! Heureusement que tu étais là. Dommage qu'ils nous aient interrompus n'empêche, on était bien partis, tu ne trouves pas ?"