Bavardage

C'était en fin de soirée le bar venait a peinde d'ouvrir. A l'intérieur il n'y avait que quelques personnes assisent soit au bar sois a des tables. Gabrielle était aller voir pour des emplois un peu partout dans le quartier et malheureusement elle avait été victime de beaucoup de discrimination du a ses cornes et ses petitee oreilles pointues et ses cheveux d'un blanc immaculer. Elle espérait qu'ici au moin elle pourrait trouver peut-être un petit emploi de serveuse ou si elle pouvait faire ses preuves au propriétaire peut-être être chanteuse. Se serait bien. Si elle ne se méprenait pas elle était dans le bar ou travaillait Joshua son "maître"

Elle cherchait des yeux peut-être une serveuse ou un barman mais apparament il n'y avait presque personne. C'est alors qu'elle vit une femme au bar assise seule. Peut-être qu,elle pourrrait l'aider a trouver se qu'elle cherchait. Elle s'approcha puis doucement demanda avec sa si belle voix

-Excusez-moi est-ce que vous pourriez peut-être m'aider ? Je cherche le patron de cet endroit.

Elle avait été très poli aucune familiarité n'aurait pu être détecter après tout c'est comme sa qu'il faut agir avec les gens qu'on ne connais pas.

Sur un petit air jazzy, Rosa appuyait sa tête sur sa main, visiblement moins enthousiaste que ce que sucitait l'ambiance présente.

L'ennui était palpable sur elle, ça se voyait à son air, ça se voyait à ses soupirs, aux petites bulles qu'elle fesait dans son verre aussi. Bref, elle s'ennuyait ferme... C'est étrange, se dit-elle, on vient aux bars pour s'amuser, mais, en réalité, c'est là que l'on voit le plus clairement son ennui apparaître...

Alors qu'elle s'apprêtait à achever son verre pour partir celà dit, une hybride vint à elle, pour le moins charmante... Hybride, mais, charmante.

"Qu'est-ce qui vous fait dire que je connait le patron?"

Lui répondit-elle, laissant planer le doute quant au fait qu'elle le conaisse ou pas...

Elle répondit un peu gênée

-Pour ne rien vous cacher absolument rien mais on ne sait jamais c'est pour sa que j'ai pris la chance de vous le demander

Apparament elle ne devait pas le connaître. Elle regarda au alentour pour voir si elle ne pourrait peut-être pas le demander a une autre personnes mais elle ne pourrait pas tour à tour demander a tout le monde comme sa. Elle serait trop importunente déjà qu'elle avait déjà déranger quelqu'un pour rien.

-Bon et bien merci quand même. Désolé de vous avoir dérangé pour rien.

Elle tira un tabouret pour s'y asseoir a son tour. Comme elle était en jube plutot courte toute ses jambe était dévoil;é on pouvait voir sur l'une d'elle un magnifique tribal qui partait de la cheville et diparaissait dans les pli de sa jupe. Dans son dos on pouvait aussi admirer sur son homoplate jusque dans le bas du dos ui était dénuder par sa camisole noir une aile d'ange.

Elle regarda La femme puis lui dit.

-Si sa ne vous dérange pas je vais m'installer ici pour attendre. Je me présente je m'apelle Gabrielle

Toujours aussi social elle voulait connaitre plein de gens.

"Et, je suppose que vous avez déjà essayée le barman. Bah."

Rosa sirota un peu du contenu de son verre. L'ultime partie du contenu d'ailleurs. Puis elle entama en bonne et due forme la conversation avec Gabrielle en touillant ses glaçons.

"Enchantée Gabrielle, je me nomme Rosa quant à moi. Et ça ne me dérange pas, je n'attend personne de toute façon, au contraire, je m'ennuyais un peu."

Rosa croisa les jambes, en détaillant son interlocutrice. Elle était elle-même vêtue plus simplement qu'à son habitude, d'un haut sans manche, et d'un jeans évasé à la base.

"Et, pourquoi une hybride loin de son maître chercherait le patron de cet établissement?"

Demanda-t-elle, ne pouvant cependant s'empêcher de remarquer l'absence d'un signe de servitude.

-C'est simple je n'ai pas de maître....ou si oui enfaite j'en ai un qui n'en ai pas vraiment un. Hum comment dire.

Elle cherchait un moyen d'expoliquer que son maître lavais acheter pour la libéré et d'en faire sa nouvelle coloc

-Bon enfaite c'est simple je vis avec un garçon de mon age Joshua qu'il se prénome. Il m'a acheter pour ensuite me libéré. Il ma gentiment aceuillit chez lui et maintenant jéssait de me trouver un emploi pour lui rembourser largent qu'il ma donner pour que je puisse m'acheter des vêtements. Aussi pour pouvoir payer une partie du loyer et dela nourriture. C'est la moindre des chose que je puisse faire vu sa grande générosité.

Elle lui fit un magnifique sourire. C'était a se demander si cette hybride n'avait pas quelque chose en elle qui n'était pas magnifique. Sa peau ne semblait avoir aucune imperfection. Des yeux perc¸ant, une mer d'émeraude, Des lèvre légèrement rosé on aurait envi de les embrasser. Un coirps sublime qu'on voudrais possédé. Elle était magnifique

"Oooh, oui, votre maître doit être très généreux en effet..."

Dit-elle, d'un ton relativement ironique. Puis laissant planer un instant de silence, elle rajouta:

"Vous savez que cette "libération" signifie que n'importe qui pourrait vous capturer et vous revendre, n'est-ce pas? Même moi..."

Nouveau silence, habilement cultivé, pour laisser planer un doute.

"Mais, rassurez-vous, ce n'est pas mon intention... Pas la partie revente en tout cas... Car vous posséder serait vraiment exquis, d'autant qu'un maître qui se débarasse de vous si vite... Vous mérite-t-il vraiment, Gabrielle?"

Peu à peu, Rosa ne savait plus vraiment ce qu'elle pensait vraiment, et ce qu'elle disait pour rire. C'est vrai qu'elle constituerait une belle addition à son domicile...

"Vous considérer comme une humaine n'est pas à vous rendre service je le crois... La preuve, vous peinez... Et vous peinerez beaucoup, car, malgré vos charmes évident, et votre bonne volonté..."

Elle cessa de touiller les glaçons pour laisser tomber la paille.

"Vous restez une non-humaine."

Gabrielle l'écoutait attentivement. Elle n'avait jmais pensé a sa....et si jamais on la capturait? Il faudrait qu'elle en parle a Joshua a moin que.....Elle eu un peu peur lorsqu'elle lui dit qu'elle même pourrait le faire. Elle n,aimait pas sa. Surtout le fait de se faire traité de non-humaine mais toujours aussi jovial elle lui répondit aimablement.

-Vous savez Madame Pour moi être une non-humaine fait de moi quelqu'un de spécial même d'unique. Ne le prenez pas mal mais jaime mieu avoir des corne et des oreil pointu avec des cheveux blanc que ressembler a toute ses femmes qui sont identique et blonde sortant d'un moule préfabriquer.

Elle avait dit sa presque joyeusement. En effet Gabrielle savait que contrairement au humain elle serait toujours pointé du doit par bien des humain. Trop peu était comme Joshua. Malgré tout Gabrielle restait quelqu'un de beaucoup plus intelligente que bien des humain normaux.

-Mais je n'aime pas beaucoup que vous employer le terme non-humaine car enfaite je suis une humaine mais seulement amélioré.

Elle avait envi de Narguer Rosa même très envi mais elle allait se retenir.

Elle ne se démontait pas, au contraire... Elle fesait preuve d'un courage louable, mais, peu raisonnable... De la témérité plus que du courage somme toute. C'était pour elle dangereux, et elle comptait bien le lui faire savoir...

"Une chance que je sois rousse"

Commença-t-elle en riant.

"Les humains sont moins uniformes que tu ne sembles le croire. Ils ont juste des caractéristiques plus subtiles... Je suis persuadée que nous sommes plus proches encore que vous ne semblez le croire, car, en affirmant votre superiorité, vous n'êtes qu'une humaine "de l'autre côté" dans la mentalité. Mais, c'est normal, rassurez-vous..."

Dit-elle ensuite, prenant un air faussement compatissant, et vraiment moqueur par contre. Après avoir affirmée par ces quelques répliques qu'elle ne lui lâcherait rien, Rosa prit un air plus confortable et désigna son interlocutrice avec sa paille.

"On va jouer à un petit jeu vous et moi... Un petit jeu éducatif disons. Vous pouvez refuser, mais, ce serait à votre désavantage, et triste pour moi."

Prenant un air bien moins joueur que précédemment, c'est presque impitoyable que paraissait à présent la psychologue. En tout cas, elle avait l'air serieuse...

"Cependant, si vous le faites et que vous agissez n'importe comment, je vous livre aussi. Un jeu dangereux donc. En tout cas, lourd de conséquences, mais, plutôt facile... Je vous explique le déroulement."

Pour donner plus de poids à ses mots, elle se leva, et s'aidant non pas de sa canne, mais de la table, elle avança jusqu'à Gabrielle, et se pencha sur elle, pour lui dire, moins fort, mais, peut-être avec plus d'intensité:

"Vous allez commencer par écrire une lettre à votre maître, ou à le contacter d'une autre façon, en ma présence, pour lui dire que tout va bien, mais que pendant trois jours, vous serez loin de lui... Car ce sera le cas."

Elle marqua une pause le temps de lui laisser assimiler ceci, puis reprit.

"Durant ces trois jours, vous serez avec moi. Vous aurez un autre mode de vie, et je vous édicterais des choses, spécialement pour que vous soyez à l'avenir en sécurité. Je fais ça pour votre bien... Tu apprendras donc à tromper la vigilance de l'autre, en faisant croire que tu appartiens à quelqu'un, à parler quand il le faut, et surtout, à se taire quand il le faut."

Pour illustrer son propos, elle passa l'un de ses doigts sur les lèvres de Gabrielle, aussi douces qu'elles paraissaient...

"Après ces trois jours, pour te motiver, je t'indiquerais outre ces précieux conseils de survie des lieux, où tu pourras travailler, et surtout, que dire pour te faire engager, car, les patrons seront de mes clients, et donc, que je connaitrais leur casier psychologique, ce qui les touche, et ce qui les rebute...

Mais, en attendant... Tu es à moi. Pour trois jours. Ca me paraît plutôt équitable, compte tenu du fait que ça t'aidera à vivre, et que ça aidera ton maître à connaître aussi bien les conséquences de ta libération, que plus généralement, le fait qu'il aura à se passer de toi de temps en temps... Ce qui je le conçois est difficile... Quant à moi..."

Elle se pencha un peu plus sur Gabrielle, pour attraper le haut de son oreille pointue entre ses lèvres, et y faire un petit effet de succion avant de dire, d'une façon plus intense, limite sensuelle que précédemment:

"Non, moi, je n'apprendrais rien, mais, ce sera terriblement plaisant."

Avant de se réinstaller de son côté de la table, attendant les réactions de l'hybride.