Promène son animal[Pv]

Miyuki avait vu la neko trembler lorsque l'on faisait allusion à son livre...excellent elle pourrait s'amuser avec, peut-être même lui faire croire qu'elle le brûlerait, le déchirait ou que sais-je d'autres. Amusant vraiment... amusant cette petite chose allait lui procurer quelques délices et peut-être même faire preuve de rebellion si l'on touchait à ses affaires et là, Miyuki pourrait sans remord la battre ou l'attacher et puis jouer avec elle, comme un enfant avec une nouvelle poupée, voilà c'était SA nouvelle barbie et personne à part elle ne pouvait avoir accès à son joli petit corps...

Rien qu'a cette idée Miyuki passa sa langue sur ses lèvres, avec un sourire qui réfletait son entière satisfaction. La jeune femme, sortit alors de l'annimalerie, son nouveau compagnon sur les talons. Celui-ci semblait heureux de quitter enfin cet endroit étouffant. Qu'importe, elle lui fera ravaler sa joie plus tard, pour l'instant elle voulait voir ce dont cette bestiole était capable.

Sans trop y faire attention, ses pas la conduisièrent dans les ruines, parfait, un endroit calme et tranquille ou personne ne pourrait les voir, ou personne ne ferait attention à elles deux. Miyuki qui avançait, tout en tira la laisse derrière elle, n'avait encore jeter de coup d'oeil au neko.
La noireaude se retourna, fixant l'animal d'un air intrigué, elle ne l'avait pas examiné sous toutes les coutures, car elle l'avait acheté sur un coups de tête sans vérifier la qualité de la marchandise.

Bah au pire, elle pourrait toujours aller réclamer si elle était non contente de son animal.Elle tira délicatement la neko faire elle, ne voulant pas abîmer son joli petit corps, et passa sa main sur le visage de celle-ci.

"Ta peau est douce, c'est déjà ça..."

Et puis s'empara de ses lèvres, la forçant à entrouvrir la bouche, approfondissant le baiser, lui donnant ainsi accès à sa langue.

"Et t'embrasser n'est pas si désagrèable que ça, je pense que tu vas pouvoir me satisfaire pleinement"

Puis elle poussa, Leena contre un mur en ruine, la léchant dans le cou et passa sa main sous les vêtements du petit chat.

"On va bien s'amuser" murmura-t-elle dans son oreille.

Elle ne se sent pas vraiment a l’aise aller savoir pourquoi cette femme se releche les babine, pourquoi quand elle la regardait elle avait froid dans le dos. Ho et puis zut elle ne pouvait pas être pire que son première maître, elle ne pouvait pas être pire que le vielle homme. Au moins elle elle était belle, et attirante, enfin a son gout, mais disons que des fois la petit chatte était étrange.
Elle suivit en silence sa nouvelle maîtresse elle savait qu’elle ne devait pas parler, qu’elle ne devait rien dire avant qu’on ne lui demande et simplement marche lui plaisait bien, bon dieu que cela faisait du bien d’être enfin dehors, de pouvoir respirer l’air frais. La jeune chatte suivait sans faire d’histoire, sans chercher a passer devant ou alors a traîner, même si la femme marchait vite pour elle, elle suivait.

Les ruines elle connaissait, elle connaissait très bien, elle avait fait connaissance d’un homme, dont elle a oublier le nom, mais elle se rappelle que pour la première fois de sa vie, un homme lui avait vraiment donner du plaisir.
Enfin sa nouvelle maîtresse s’arrêta, la tirant vers elle, quand elle passa sa main sur sa joue, la jeune femme n’eu pas un pas de recul, le mouvement ne lui paraissait pas agressif. Elle ouvrit la bouche en douceur sous le baiser, elle avait l’habitude qu’on la trait ici, elle savait ce qu’elle devait faire pour avoir moins mal, pour contenter la personne. Enfin pour l’instant elle se laissait faire, tenant toujours son livre dans sa main.

La satisfaire, alors elle l’avait achetée seulement pour cela, ou alors c’était seulement un partie. Contre le mur, elle ne peut plus bouger, mais quand elle sentit les lèvres de sa nouvelle maîtresse sur sa peau, ces mais sur sa peau sous ces vêtement elle ne put s’empêcher de pousser un soupir de plaisir, elle adorait sentir les mains des gens sur sa peau, elle adorai quand il ne lui faisait pas mal. Et puis comme toujours ici, elle avait l’impression que son corps s’enflammait plus rapidement.

« Je peux vous donnez du plaisir, j’ai été élevée pour cela. Et puis vous êtes belle.»

Doucement les mains de la jeune chatte passèrent sous les vêtement de la jeune femme, caressant en douceur la peau de son ventre, remontant doucement, effleurant en douceur la peau douce de la jeune femme, elle glissa en douceur sa main, sous le sous-tiens gorge de la jeune femme, caressant en douceur ces seins.

La queue de la jeune chatte caressait le dos de sa maîtresse, reste a voir si elle appréciait se genre de caresse. LE petit livre était tomber au sol, elle le ramasserais après. La tête penchée sur le coté elle offrait son cou a sa maîtresse qu’elle lui fasse ce qu’elle voulait.

« Maîtresse dite moi ce que vous aimer, je peu essayer de vous donner satisfaction. »

La voie était toujours douce, comme si elle avait peur de parler trop fort, et c’est vrai aussi qu’elle voulait contenter la jeune femme.

Belle...c'était la première fois que l'on lui disait cela, aux yeux des autres elle semblait étrange, un personne sans sexe, ne possèdant ni la virilité des hommes, ni la grâce et les formes des femmes.

Condamnée à possèder le sexe des anges...elle en fût légèrement surprise mais ne lassa rien paraître, cette neko ne devait pas savoir qu'elle avait touché un point sensible chez Miyuki, un point qui lui procurait toujours dans de perpetuelles réflexions.

Elle ne dit mot continuant de ses doigts son exploration, pour parvenir sur le doux tissus qui retenait la féminité du neko, passant ensuite ses mains en dessous et caressant sa peau et ses formes assez généreuses. Puis frisonnant au contact des mains de l'animal, un contact plutôt agrèable ma foi.

*Me donner satisfaction...*

"Sache petit neko que c'est moi qui procure le plaisir et qui mene la danse, toi en parfait animal soumis tu dois te laisser faire"

"Contente de toi de me laisser faire"

Sur ce, sa main, glissa vers le bas du corps de Leene, s'attardant entre ses jambes, caressant doucement cet endroit à travers le tissu, appuyant lègèrement et régulièrement, de manière a suciter un certaines excitation chez l'animal.

Tandis que ses lèvres se promenaient le long de son cou, déposant de frêle baisers, pour ensuite remonter et lui mordiller l'oreille.
Saissisant ensuite ses lèvres, jouant de sa langue à l'intèrieur de celle-ci.

Sa main lassée de caresser le tissus, baissa le short de la jeune fille. Frolant d'abord l'intèrieur de ses cuisses et remontant doucement vers l'endroit voulu. Chassant son "slip" d'un air desinvoltant permettant ainsi l'accès. Elle effleurait ainsi son entre-jambe.

Et bien oui la jeune chatte trouvait sa maîtresse belle, elle avait un beauté particulière, pas celle des canons de beauté mais un beauté plus sombre. Aussi tentante que les autre, difficile a expliquer. Mais il faut aussi bien dire que la jeune femme était quelqu’un d’étrange , pour elle la beauté n’était pas ce qu’elle regardait en première. Bien sûre elle trouvait l’androgynité de la jeune femme particulièrement attirante, étant elle même trop femme, trop féminine, trop attirante dans un sens pour pouvoir être tranquille.

Elle avait sentit la jeune femme frissonner doucement , est-ce qu’elle apprécier ces caresses, est-ce qu’elle devait continuer ou arrêter, elle n’en savait trop rien, mais le roron légère qui s’élevait dans l’air, montrait bien que sa maîtresse la caressait comme elle aimait dans un sens.

Doucement elle laissa retomber son bras et sa queue aussi, seulement laisser sa maîtresse faire

« Bien maitresse. »

Elle n’avait pas autre chose a dire, elle n’était qu’un poupée entre les mains de la jeune. Elle n’avait pas vraiment l’habitude de ne rien faire, au contraire, normalement on lui demandait toujours d’agir de faire quelque chose, sans qu’on ne lui donne rien.
Doucement quand elle sentit la main de sa maîtresse sur son intimité elle poussa un petit soupire de plaisir, depuis très longtemps elle avait remarquer que la moindre caresse la faisait réagir, et cela faisait toujours rire son première maître. Qui s’amusait a la caresser sans rien lui donner, ni la laisser aller jusqu’au bout.

Mon dieu qu’elle aimait se genre de caresse, donnée par un femme cela l’existait encore plus , le roron de la jeune chatte s’accéléra un peu plus
Sous les lèvres et les mains de al jeune femme leene se sentait fondre, elle ne pouvais empêcher son corps de se tendre vers les mains de sa maîtresses, comme peut être pour en demander plus. Leene lui rendit son baiser, cherchant sa langue même si elle lui avait dit de rester immobile, caressant même des fois de sa langue, les lèvres de sa maîtresses

Quand elle sentit la main de sa maîtresse, la déshabiller, et se glisser prés de son intimité déjà légèrement humide, elle poussa un étrange gémissements qui se mêlait a ces ronronnent. Elle voulut faire un geste mais serra doucement le poing pour ne rien faire, on lui avait dit de se laisser faire, elle se laisserait faire.

» Psychologies, de l'humain à l'animal.