La vies est un fleuve immuable Lannovar

Encore une fois elle se retrouvait dans une prison, non pire une cage, elle pouvait a peine se lever. Elle ne pouvait même pas se redresser de toute sa taille. Mais le pire n’était pas le manque de place, mais la chaleur étouffant qui régnait dans le magasin, si elle ne buvait pas régulièrement, elle avait l’impression de dessécher, comme un vieux pruneaux. Non pire, elle avait l’impression de fondre de perdre toute ces forces. Doucement la jeune femme passa un main fine dans ces cheveux bleus.

Simplement vêtue d’un haut de maillot, d’un pagne bleu, et d’un string de même couleur, on ne pouvait pas dire qu’elle était trop vêtue, pourtant elle mourait de chaud.
La jeune hybrides était belle, un corps élance tous en muscle, un poitrine bien développée, souple, une peau douce. Un bouche pulpeuse. Des yeux d’un vert assez voyant. Mais tous cela était gâcher par un peau bleu comme la glace. Pourtant la jeune femme était fier de ce qu’elle, pourquoi est-ce qu’elle aurait eu honte.

Son regard vert dédaigneux se posa sur le marchant qui venait d’entré, elle le regarda marcher, flatter la croupe de certain hybrides et même plus. Quand il s’approcha d’elle, elle le regarda de haut, comme si elel était un princesse et non un chose que l’on vend. Comme toujours le regard qu’elle lui lanca l’énerva le vendeur qui ouvrit brutalement la cage. Pour venir la rejoindre, la prenant par la gorge, il commença a la caresser. Elle pouvait sentir sa main sur son sein a travers le tissus. Et comme toujours elle se débattit, le frappant au seul endroit dangereux pour lui. Ce faisant il la lâcha en reculant.

« Salle Garce. »

La jeune femme se redressa de toute sa taille, prête a se défendre, quand la porte s’ouvrit , tiens un client, le vendeur la regarda l’air de dire, tu ne perds rien pour attendre toi. Oui elle le savait très bien. En douceur elle se rassit au fond de la cage, ces jambes repliée sous elle, le regard fier, elle ne voulait pas qu’on la prenne pour une de ces petites chose insignifiante.

Lannovar s'était réveillé très tôt ce matin là. Le réveil avait sonné à cinq heures et demi pile et il s'était dirigé d'un pas digne d'un zombie jusqu'à la cuisine. Le petit déjeuner était déjà prêt, il fallait dire que tout dans la villa était automatisé et que l'endroit prenait lui même des initiatives par rapport aux habitudes des habitants de la villa. Le jeune homme avala bien vite son café au lait et ses tartines de confiture. Une fois ceci fait, il quitta la pièce, laissant le soin de nettoyer et de ranger aux automates robotiques de la villa. L'humain se entra dans une pièce avec tout un bric à brac à l'intérieur et se mit au travail. Deux heures plus tard, il avait enfin terminé le travail de plusieurs mois. Le jeune homme créait des inventions aussi bien pour les humains que pour les autres races. Celle ci était spécialement faite pour les hybrides vivant dans le froid et qui souffraient de la chaleur en été. C'était une sorte de gant qui une fois mis et le mécanisme activé produisait une sorte de brume glacée autour de l'hybride. Ca avait une autonomie de quatre heures et on devait le recharger en le mettant simplement dans un endroit froid comme un frigo.

Lannovar pris sa voiture pour se diriger vers le quartier Sud de la ville. Il souhaitait acheter une hybride.En cette heure matinale, il ne fut pas étonnant pour lui de constater que la place qui se trouvait pile devant la boutique d'hybrides qui venait d'ailleurs d'ouvrir fut libre. Une fois garé, il sorti de son véhicule qui se ferma derrière lui sans qu'il fasse quoi que ce soit. Le jeune homme entra dans la boutique d'hybrides et par la même occasion dans une atmosphère assez bruyante vu que beaucoup d'hybrides essayaient d'attirer son attention par tout les moyens. L'humain passa entre les cages et remarqua une charmante demoiselle à la peau bleue. Un employé venait de verrouiller la cage et de rejoindre le comptoir en observant son client. Le jeune maitre se mit à la hauteur de la jolie hybride.

Quel est votre nom ?

Lannovar n'était pas gêné qu'elle ait la peau bleue. Cela donnait d'ailleurs à la demoiselle un charme étrange.

Qu’est ce qu’elle avait envie de leur crier de fermer leur gueule, il ne servait a rien de crier, de chercher a se vendre, les humain choisait toujours selon leur envie et pas parce qu’on les suppliait. A quoi bon se rabaisser, quand on a plus que se fierté, il faut la garder jusqu’au bout, quitte a se faire massacrer, a récolté des ennui. Cela faisait quelque fois que la jeune femme se retrouvait dans une cage, plusieurs fois et a chaque fois c’était la même chose, ces idiot qui crie comme des animaux qu’on égorge.
Non vraiment elle ne les comprenait pas, a quoi bon supplier demander de l’aide, cela ne servait strictement a rien. L’homme qui venait d’entré se stoppa devant sa cage, les yeux vert de la jeune femme plongèrent dans les siens, sans aucune peur, aucun crainte, comme si elle allait avoir peur d’un homme, elle savait qu’elle ne pourrait rien faire si il était trop fort. Et même un corps assez mince peut cacher certain force. Même un visage neutre, presque doux comme celui de l’homme pouvait cacher quelque chose.

« Mon nom qu’elle importance, dans se lieux je ne suis qu’un marchandise sans aucune liberté, ni droit a quoi bon avoir un nom alors que je ne suis qu’un prix, un jouet. »

La voie de la jeune femme était douce, froide en même temps, teintée d’un accent un peu pédant, d’un accent de vérité et de fierté qu’elle ne voulait point abandonner doucement elle se leva, pas complètement car la hauteur de la cage l’empêchait, cela ne l’empêcha pas de s’incliner doucement, comem si elle s’inclinait devant l’homme.

« Mais puis c’est demander si gentiment, mon nom est Tenshi Shino, l’ange Blanc et vous même qu’elle est votre nom. »

A parler de cette manière poliment, mais avec un pointe de moquerie, un pointe de cynique, la jeune femme c’était déjà faites a plusieurs reprise rabrouée, elle se rapprocha un peu plus des barreaux de la cage et de l’home, ces yeux vert le déshabillant, pourquoi c’était t’il arétter devant sa cage et pas devant celle d’une autre. La question brillait dans ces yeux. Pourquoi me parler?
Doucement la jeune femme passa une main dans ces cheveux bleux soulignent un peu plus sa poitrine, qui semblait légérement comprinée par ce qui ressemblait plus a un sous tif qu'un a un vêtments.

Le niveau de décibels dans la boutique en était assourdissant. Ce n'était pas vraiment la bonne manière de se faire acheter et certains comme la demoiselle à la peau bleue l'avaient compris. Il y en avaient qui avaient abandonné dès le moment où il avait parlé à la jeune femme, sentant qu'il avait déjà fait son choix. Et ils avaient raison. La demoiselle le regarda de ses magnifiques yeux verts. Un léger frisson parcouru le corps de l'humain, les yeux de l'hybride donnaient l'illusion qu'ils sondaient son âme. Un maitre plus méchant que lui se serait énervé face à cette hardiesse. Mais pas lui, il était trop gentil. Elle était courageuse, cela lui plaisait. Elle lui fit remarquer que son nom n'avait pas d'importance et qu'en ces lieux elle était comme un objet, une marchandise. L'humain ne voyait pas les soumis comme cela. Il voulait en prendre quelques uns sous son aile pour les protéger. Elle se leva mais pas totalement à cause du plafond bas de sa cage. La demoiselle lui donna enfin son nom. Tenshi Shino, c'était beau... Elle avait parlé avec moquerie et il comprenait qu'elle veuille le provoquer lui qui était un maitre. Cela ne le fit pas réagir.

Je suis Lannovar Svent.

Il se dirigea vers le comptoir où il demanda à acheter Tenshi. Il remplit les papiers et paya. Quelques minutes plus tard, la cage de l'hybride s'ouvrit, son nouveau maitre l'aidant gentiment à sortir. Se faire acheter devait être quelque chose d'humiliant... Mais il prendrait le plus grand soin d'elle. Il ne voulait pas qu'elle soie malheureuse.

Pourquoi crier ? Pourquoi dites moi mes très cher camarades de cellules, vous ne le savez pas alors taisez –vous, ne voyez vous pas que du moment ou il s’est arrêter il m’a déjà choisie, oui moi comme toujours. Cela aurait put être la pensée de la jeune femme , d’un façon c’était cela mais elle pensait aussi a autre chose. Elle voyait bien que l’homme la trouvait belle, mais cela beaucoup de monde la considérait ainsi, mais elle ne lisait pas dans son regard la violence, ou l’envie furieuse de la violer, de prendre son corps son sans avis. C’était étrange de toute sa vie, elle ne se rappelait pas avoir rencontrer un homme avec un regard aussi doux. D’ailleurs il ne s’était même pas énerver face a son regard dédaigneux, son regard hautain, qu’aucune personne n’avait put lui enlever. Elle était fière d’être, et le montait.

Pourquoi est-ce qu’il ne réagissait pas elle ne comprenait pas, c’est pas normale, il aurait du crier frapper, faire quelque chose pas lui répondre aussi doucement , aussi gentiment, non il n’était pas normale . Qu’est-ce que cette douceur cachait. Qu’est-ce qu’il lui resservait, même si la peur faisait partie intégrante de sa vie, elle ne la montrait, pas c’était un habitude, un preuve que la jeune femme avait l’habitude de se battre , pour survivre.

Les yeux vert de la jeune femme ne lâchèrent pas le jeune homme pendant qu’il allait payer, c’était la quantième personne qui l’achetait qui payait ce vendeur pour l’avoir. Non elle ne savait plus, elle avait perdu le compte. Quand la porte s’ ouvrit et que l’homme l’aida a sortir, elle ne se débattait pas, elle savait que cela ne servait a rien.
Hors de la cage, elle s’étira doucement les bras au dessus de la tête, elle sentit le regard concupiscence du vendeur sur elle, elle n’était pas petit, prés d’un mettre quatre-vingt, pourtant son nouveau maître semblait un peu plus grand qu’elle.

« Content de votre achat Monsieur Svent, j’espère que notre ami le marchand vous a prévenu que je suis maudite. »

Punaise qu’elle qu’il fait chaud fasse qu’il sorte vite d’ici, sinon elle allait s’évanouir, elle allait tomber ici devant ces homme, non , d’un mouvement elle se redressa jetant sa chevelure tressée en arrière. Les cheveux de la jeune femme descendait jusqu’au creux de ces genoux, soulignent la courbe de ces reins.

« Pouvons nous y aller Maître Svent, je ne supporte pas cette endroit, ni les personne qui le dirige ; »

Encore un fois elle plonge ces yeux dans ceux de l’homme, c’est vrai qu’elle était prête a partir, commencer une nouvelle vie.

Son comportement pouvait être étonnant pour certains hybrides qui avaient été maltraités. Il avait toujours été doux avec tout le monde. Et puis, il considérait les soumis comme des personnes et non des objets. Ca lui faisait mal de voir tout ces gens enfermés. Il avait lu de l'étonnement dans les yeux de Tenshi. La demoiselle n'aurait rien à craindre de lui, il ne lui ferait aucun mal. Il détestait faire du mal aux autres. Les papiers furent signés et l'argent encaissé par l'employé. Quand le vendeur ouvrit la cage, Lannovar aida Tenshi à sortir. Elle n'opposa pas de résistance et s'étira doucement. Maintenant qu'elle était sortie de sa cage, elle semblait plus belle encore. Elle avait une grace naturelle. Tenshi était légèrement plus petite que lui. La demoiselle le félicita de son achat et lui dit qu'elle était maudite. Si elle voulait l'effrayer c'était raté. Le jeune homme n'était pas superstitieux. Elle demanda à sortir, ce qu'ils firent aussitôt. Lannovar l'aida à monter dans sa voiture et ils partirent pour la rue de la Rosé.

[Poste une dernière fois ici et je fais le topic dans la villa de Lannovar. Un peu court, désolé.]

Elle sent le regard de l’homme sur son corps, elle ne sais pas ce qu’il pense d’elle pourtant elle peut lire une certaine admiration dans ces yeux, elle sais qu’elle est belle, que la plus par des personne la trouve belle. Mais cette homme la trouble, elle ne sais comment agir avec lui. C’est un peu pour cela qu’elle le suis sans rien dire, sans rouspéter, de son pas dansant calme et rapide en même temps. Dehors, elle peu savourer la brise qui lui chatouille le corps, ce que fait du bien de sortir du magasin.

Elle regarda la voiture de l’homme, un peu étrangement, elle n’aime pas trop ces machin qui font beaucoup de bruit, pourtant quand il démarre c’est le silence qu’elle capte, la voiture et douce, et la fenêtre qu’elle a ouverte en grand lui permet de savoure la fraîcheur du vent. Pourtant il faisait encore un peu chaud sans demander l’avis de son nouveau maître, elle régla le chauffage pour qu’un vent assez froid lui souffle dessus, sous cela elle avait l’impression de renaître, de retrouver sa forme. C’est en silence qu’elle vit le trajet, le silence le plus complet.

[Mais non est bien ton poste le mien aussi est court, c'est juste un poste de passage^^]

La vies est un fleuve immuable ~~Lannovar~~

La vies est un fleuve immuable Lannovar