L’aube était rouge le jour ou je péris, l’air était embaumé d’une odeur âcre. L’air vicié sentait la chair brûlait, au dehors la plaine résonnait encore des cris des combattants, tombée face contre terre avant le soir couchant ! Les cadavres parsemaient plongeaient cette plaine d’herbe en terrain apocalyptique, jonchaient de corps tout semblable dans la mort. Pâle au teint olivâtre et à la senteur charnière d’un corps en décomposition. Epée brisée, destin achevés, ils étaient tous dans le même habit face à la mort, incapable de payer celle qui venait les saisir. La brume s’élevait autour des cadavres, comme si leurs âmes étaient condamnées à rester là où ils avaient succombaient. Leur regard fixe, face à une réalité cruelle…
Qu’ils soient bourreaux ou victime, ils avaient tous vu qu’on ne s’opposait pas au maître…
Je rêvais encore de se drame la scéne passa encore et encore dans mon esprit,Isiel a force de revoir ce souvenir dans sa tête fût effondré mais étant une forte croyante elle décida quand même Après de long moins d’incertitude de pouvoir vaincre cette chose si horrible qui rmeontait toujours à l'esprit, la jeune femme était stricte avec elle même..
Pour le but de se changée les idée elle se dérigeat vers la forêt dans la seule tentation d'espoir d'oublier..