Nom :
Flinndak
Prénom :
Viktor
Âge :
14 ans
Sexe :
Féminin
Sexualité :
Hétérosexuelle et encore vierge
Métier :
Elle n’en a pas besoin et de toute manière, n’a même pas l’âge légale… (si lois il y a à Olphéra)
Niveau social :
Milliardaire
Famille :
Le père : Julius Flinndak. 36 ans
Né en tant que noble descendant, il fut élevé comme tel. Il est imbue de lui-même et autoritaire, ne supportant pas l’irrespect. Il se fiche pas mal de ses enfants et de sa femme qu’il épousa seulement pour qu’elle lui donne des fils. Malheureusement elle n’en n’eut qu’un seul, et il continue à l’honoré pour en avoir au moins un second.
Mais activité extra conjugale s’explique par le dégoût qu’il éprouve face à son épouse…Violent et impulsif, il aime maltraiter, séquestrer…tout ce qui pourrait faire du mal. Les esclaves y passe souvent, sans compter les Neïko et les Hybrides.
La mère : Adémia Flinndak. 34 ans
Elle fut mariée de force avec le père des Flinndak à l’age de 17 ans. Elle fut considérée comme un objet par celui-ci, mais n’ayant pas le choix, elle se laissa vivre, lui donnant tout les enfants qu’elle pouvait faire… Battu de nombreuse fois, elle ne disait pourtant rien. C’est à l’age de 30 ans qu’elle se décida à trouver un amant (ou une maîtresse) pour tenter de retrouver une confiance, et de ressentir du bonheur avec une personne.
Même si elle parait douce, ce qu’elle est, elle peut aussi devenir manipulatrice. Mais elle semble désarmé devant son mari.
Le frère : Ynai Flinndak 17 ans
Jeune homme de 17 ans, il semble brut et cruel, le véritable héritier d’Elkan. Du moins, c’est ce qu’on lui à toujours rabacher, et à présent, il y croit dure comme fer. Il fait ce qu’il veut, quand il veut, étant considéré comme le petit prince de la famille. Pour tenter d’aller jusqu’au bout de sa ressemblance avec Elkan, il n’hésite pas à violer sa petite sœur, et plus. Il y trouve même un malin plaisir et ne peu à présent plus s’en passer. Il est aussi impulsif que son père…
La sœur : Leila Flinndak 16 ans
Jeune fille de 16 ans, elle subit depuis ses 14 ans les assauts répéter de son grand frère qu’elle déteste plus que tout. N’osant rien dire à personne sous les menace de celui-ci, elle se débat rarement, mais tente tout de même d’éviter le viol lorsqu’elle le peu. Elle semble aussi douce et romantique que l’était Sylwiné… Et c’est complètement vrai ! Elle pardonne toujours, même les agressions de son frère. Pourtant, elle est consciente de ne pas devoir le laisser faire…
Histoire :
Viktor. Drôle de prénom pour une petite fille non ? Ses parents la nommèrent ainsi tout simplement parce qu’elle devait naître en tant qu’homme. Malheureusement, on ne choisit pas le sexe de l’enfant qu’on attend. Du coup, son père, qui depuis le jour de sa naissance même, la haït décida de lui laisser ce nom en guise de « punition ». Sa petite vie commença donc plutôt mal. Sa mère, trop soumise au paternel Flinndak n’osait rien dire et laissa donc les choses faire. Après sa naissance, il semblerait que sa mère ne puisse plus avoir d’enfants…en apparence. Par conséquence, la jeune fille n’a jamais réellement lié quelques sentiments qui soient avec ses parents. Elle le regrette beaucoup mais ne peux rien y faire de toute façon.
Viktor eu une enfance traditionnelle pour la famille. Elle reçut une très bonne éducation et est maintenant une jeune fille très intelligente, vive et polie. Malgré tout, la cadette ne se doute pas un instant de tout ce qu’il peux se passer entre les membres de sa propre famille. Trop naïve et innocente pour y faire attention. Elle sais parfaitement qu’elle n’est pas une jeune fille comme les autres. Que la famille est une, pour ne pas dire, la plus grande famille d’Olphéra. Pourtant, pour elle, dans son âme d’enfant, une famille reste une famille.
Depuis toujours, la jeune fille essaye de se rapprocher au maximum de son frère et de sa sœur. Romantique dans l’âme, dans le sens où pour elle un grand frère est le protecteur et la sœur une meilleure amie attentionnée, Viktor essaye donc tant bien que mal de se faire une place dans sa propre famille. Elle essaye de répondre aux attentes de tout le monde, jouant la petite fille modèle, toujours courtoise.
Malgré tout, et lorsqu’elle trouve du temps pour elle, la cadette de la famille reste une aventurière. Il n’était pas rare de la voir dès on plus jeune âge vagabonder dans l’immense bibliothèque familiale, en quête de livre décrivant, racontant, expliquant l’histoire de sa familiale, celle d’Olphéra et des divinités.
Physique :
Viktor n’a pas encore fini de grandir. Elle est de taille moyenne pour une fillette de 14 ans. Souple et agile, elle aime s’adonner aux sport diverse. De longs cheveux châtains foncé encadrent son joli minois de fillette. Elle aime s’occuper de ses cheveux, qu’elle attache pourtant souvent en chignon serré. Lorsqu’elle les détache, ils lui arrivent dans le creux des reins. Viktor possède de grands yeux marrons, qui reflètent tout le temps ses émotions. Pétillant et vif lorsqu’elle est de bonne humeur (ce qui est quasiment toujours le cas), triste voir même suppliant lorsque la mélancolie s’empare d’elle. Son style vestimentaire varie beaucoup, selon ses humeurs encore une fois. Pourtant, elle privilégie les pantalons tels que les jeans lorsque ses parents, et surtout son père, ne sont pas dans les parages. De plus, le pantalon est bien plus approprié aux longues balades de découvertes plutôt que les jupes si conformistes.
Mental :
Viktor est une grande insouciante et joyeuse, dû à son jeune âge. Toujours prête à apprendre de nouvelle chose, elle n’en est pas moins irresponsable. Consciente d’être née à la place d’un garçon tant attendu, elle préfère vivre sa vie en attendant gentiment sa majorité. Quelque peu naïve, elle ne fait pas attention aux signes qui pourraient lui apprendre bien des choses sur son grand frère et sa grande sœur… Maladroite, elle fut toujours détestée par son père. Vive et aimant l’aventure et les légendes, elle pétille d’une joie sans cesse grandissante. Malgré tout, son caractère n’est pas encore réellement affirmé. Lorsque l’envie lui prend, elle peux se montrer moins « docile » qu’avec ses parents.
