Yuko Keiko

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Nom :

Keiko

Prénom :

Yuko

Âge :

20 ans

Sexe :

Féminin

Sexualité :

Bi

Métier :

Propriétaire du bar à prostitué(e)s

Niveau social :

Elevé

Famille :

Des parents ? Oui, Yuko doit bien en avoir... Attendez que je cherche... Ah, oui, voilà. Sa mère, marchande d'étoffes s'était mariée à un homme cupide et pervers au plus haut point, alcoolique et adepte des jeux d'argents. C'était un simple actionnaire qui ne prenait même pas la peine de chercher un travail, misant tout sur l'avenir d'entreprises dont il ne connaissait même pas les employés. Son frère Akito, de deux ans plus âgé qu'elle, reste la seule attache que Yuko a à sa famille.

Histoire :

Inutile d'entamer un récit romanesque par une naissance lors d'une nuit noire, dans une ruelle sombre et mal éclairée, dans la misère et la crasse, ça ferait trop cliché, et ce serait totalement faux. Non, Yuko est née dans un hôpital renommé d'une région quelconque, mais peu importe. Sa mère avait déjà mis au monde un petit garçon deux ans plus tôt, et ce dernier fut ravi de se voir offrir une petite soeur, préférant ça à un frère qui lui aurait tappé sur le système. Non, une petite soeur c'est bien, c'est mignon, on la protège, on l'aime... Mais jamais il ne se doutait de ce qu'il allait arriver à faire...

La jeune fille grandit dans une famille modeste, sa mère était souvent absente, vendant des étoffes importées d'un pays ou d'un autre aux passants qui en voulaient bien, et son père restait vautré dans un canapé à regarder monter et descendre le cours de la bourse, le téléphone qu'on aurait cru greffé à son oreille. C'était soit ça, soit des films à caractère pornographique, dont le frère de Yuko tentait de l'en détourner, en l'emmenant jouer dans sa chambre ou dans un parc voisin. C'est lui qui se chargea le plus de l'éducation de la jeune fille, qui n'en recevait ni de sa mère absente, ni de son père ingrat.

Bref, autant dire que Yuko n'eut pas une enfance très joyeuse... Mais l'adolescence ne fut pas tendre non plus, et marqua un tournant dans la vie de Yuko. Sa mère travaillait de plus en plus tard pour tenter de ramener assez d'argent pour compenser les dettes de son mari et acheter de quoi manger à sa famille, et son père devenait de plus en plus excécrable. C'est d'ailleurs en partie par lui que Yuko changea du tout au tout.

Un soir, l'année de ses dix-sept ans, monsieur Keiko entra dans la chambre de sa fille qui révisait paisiblement une leçon pour un futur examen. Mais il n'était pas seul. Derrière lui, son frère, l'air absent, attendait patiemment. Son père lui expliqua le topo : il avait gagné un pari avec son fils. Ce dernier consistait en un simple match de hand-ball entre deux équipes de pays différents. Le frère paria sur celle qu'il était sûr de voir sur le podium, imposant à son père de quitter la maison si jamais il avait raison. Son père, pervers dans l'âme, lui imposait de ravir la virginité à sa soeur si son équipe gagnait. Certes, les prix étaient de taille, mais l'enjeu en valait la chandelle. Pourquoi l'équipe, championne internationale, ne gagnerait pas cette fois, contre un pays minuscule ? Bref, les circonstances firent que le père gagna, et à peine le résultat des scores affichés, traîna son fils jusqu'à la porte de la chambre de Yuko.

Autant dire que le jeune homme ne savait plus où se mettre, et expliqua tout à sa jeune soeur après l'acte. Il dû d'ailleurs y passer devant l'oeil ravi de leur paternel, prononçant un "désolé" à chaque coup de rein, sous le regard incrédule de Yuko qui n'arrivait même pas à résister. Pourquoi ne se débattait-elle pas ? Par peur ? Non, tout simplement parce-que, malgré la douleur infligée au départ et au déshonneur qui s'en suivit, elle y trouvait un plaisir particulier, dans cet acte, qui plus tard, devint sa marchandise...

Le frère et la soeur se mirent d'accord pour oublier cet épisode, et tenter de prendre un cours de vie normal, supportant leur paternel tant qu'ils pouvaient. Jusqu'à ce que l'aîné décide un jour de quitter la maison, sur un coup de tête, embarquant Yuko avec lui, puisqu'il ne pouvait décemment pas la laisser seule avec ce guignol. La jeune femme avait beau lui être reconnaissante pour tout, elle avait pourtant décidé de vivre sa propre vie, et ne suivit pas le même chemin que son frère, sans pour autant briser le lien qui les unissait.

Petit à petit, elle trouva sa vocation, devenant propriétaire de ce bar à mauvaise réputation, mais dont elle prend grand soin. Pour elle, la prostitution n'a rien de sale ni de choquant. C'est l'art de faire du bien à une personne un peu trop tendue. Oui, bon, elle aurait pu ouvrir un salon de massage, mais tant qu'à donner du plaisir, autant en prendre soi-même aussi...

Physique :

[i]Le mot qui qualifierait le mieux Yuko est "élégance". Ses traits sont fins, son teint est pâle, ses cheveux longs et lisses couleur nuit tombent en cascade jusqu'à ses reins. Son regard orangé destabilise facilement, et peut se montrer froid, tout comme il peut aguicher ou réconforter. Elle affiche en permanence un léger sourire, et aime à s'habiller de tenues sombres et aguicheuses, ajoutant des bijoux divers, lui donnant l'air de ces geishas qui plaisent tant au Japon. Elle est aussi extrêmement frêle, et a une gestuelle pleine de grâce et d'élégance, qu'elle travaille sans cesse, puisque son travail consiste en partie à charmer ses clients un peu trop tendus...

Mental :

Yuko est une femme fière, confiante et hautaine, qui n'est pas du genre à se laisser marcher sur les pieds, surtout par la gent masculine. Elle a beau être propriétaire d'un bar à prostitué(e)s, elle n'en est pas une fille facile pour autant. Pour elle, la prostitution est l'art de faire don de son corps à des personnes ayant besoin de se détendre, de s'évader, de décompresser. Les personnes sous ses ordres sont comme une grande famille qu'elle gère avec amour et passion, et ne reste pas seulement dans son bureau, à gérer les finances de son bar. Non, il lui arrive de se vendre elle aussi, se considérant comme l'égale de ses collègues, qu'ils soient humains, esclaves, hybrides ou neïkos. Elle ne fait pas de différences entre les races, et se montre aussi impitoyable avec les unes qu'avec les autres, tout comme elle peut se montrer compatissante. Il n'est pas rare de la voir consommer sa propre marchandise, que ce soient les alcools proposés au bar ou bien les êtres travaillant avec elles, mais c'est plus souvent bon enfant...

Liens :

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Autre :

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Fiche validée

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bon rp et amuse toi bien^^